Sunday, October 28, 2007

Learning to fly (au dessus de Vancouver)

Salut à tous,
on continue sur la série de photos de Vancouver.


Possibilité de faire un tour en hydravion ? Vous pensez bien que je n'ai pas résisté...

Pas mal de circulation sur le départ.


Ces montagnes, ce sont les Rocky Moutains (les rocheuses). Enfin de vraies montagnes !



D'ici, on voit une partie de Downtownm mais aussi le Lost Lagoon et son jet d'eau.





Pour les amateurs de belles mécaniques : 9 cylindres en étoile, une vraie sculpture de métal.

"So long, and thanks for all the fish."

Olivier.


Sunday, October 21, 2007

Le parc Stanley (Vancouver)

Salut à tous,

voici quelques clichés du parc Stanley à Vancouver. Un superbe et vaste parc, juste à la lisière de la ville basse (Downtown)

Le jet d'eau du Lost Lagoon (le lagon perdu). On voit un hydravion passer en arrière plan.

Des cygnes, sur les rives du lagon perdu.

Petite réunion de cormorans sur un tronc à la dérive.

Ca, c'est ce qu ivous attend si votre chien n'est pas tenu en laisse : jusqu'à 2000$ d'amende ! (environ 1450 euros)

Le parc est grand, j'avais peu de temps. Voici mon vélo de location, avec une partie de Downtown en arrière-plan.

Vancouver a des airs de San-Francisco.

Beaver Lake (le lac aux castors), coin d'eau perdu au beau milieu du parc.

Girl in wetsuit (la fille en tenue de plongée). Je lui trouve une ressemblance évidente avec la sirène de Copenhage, au Danemark.

Sur le pourtour du parc, on pouvait voir plusieurs de ces étranges sculptures. On dirait un défi aux lois de la gravité (merci la colle forte)

"So long, and thanks for all the fish."

Olivier.

Wednesday, October 17, 2007

Rackie (Vancouver)

Salut à tous,

toujours dans la série "w-e express à Vancouver", voici 3 photos prises dans le Stanley Park.
Il s'agit d'un superbe parc en bordure de la ville, trop grand pour que je puisse le faire à pieds dans le peu de temps que j'avais.
J'ai donc loué un vélo, et je suis parti à la découverte du parc, par un beau samedi matin ensoleillé.

Au détour d'un petit chemin, je suis tombé sur un raton-laveur, qui mangeait tranquillement, entouré d'une petite famille (les parents et un enfant)
Le gamin s'approchait timidement du raton-laveur, et celui ci se demandait si il devait détaler, ou tout simplement continuer à manger s'en s'occuper du truc blond en chemise de trappeur qui lui tournait autour.

Le raton-laveur a opté pour la poursuite de son repas, ce qui m'a permis de m'approcher à mon tour.

Je suis sûr que mon neveu Nicolas aurait adoré se retrouver juste à côté de ce raton-laveur dur à cuire (explications plus loin)


Rackie en train de manger, et apparemment, le truc est dur à croquer.

Rackie est un vrai dur à cuire, capable de survivre à tout : les oreilles déchirées, le nez plein de cicatrices, et la queue coupée. Pourtant, il est toujours là.

Et là, deux informations supplémentaires : 1) Rackie n'est pas un peureux. 2) difficile d'avoir l'air malin avec un casque de vélo sur la tête...

Pourquoi Rackie ?

Rackie the Raccoon est le surnom du raton-laveur en peluche accroché au rétroviseur intérieur de ma voiture. Raccoon est le nom anglais du raton-laveur, Rackie un diminutif de raccoon à la mode canadienne, avec un "ie" à la fin ;)

Et pour ceux qui se demandent : "un raton-laveur en peluche dans la voiture" ? On m'a dit que c'était ringard, on m'a aussi dit que c'était quétaine (équivalent québécois de ringard), on m'a aussi dit que c'est cute (mignon). La seule vraie réponse est : il est là un peu par hasard, mais maintenant, c'est un souvenir, et il reste là ;)

"So long, and thanks for all the fish."

Olivier.

Sunday, October 14, 2007

Sunset in Vancouver

Salut à tous,

en rapport avec mon métier, j'ai fait un aller-retour rapide à Vancouver (B.C, Canada)
Départ vendredi matin, retour sur Montréal le dimanche matin.
Vendredi 5H, lever pour aller à l'aéroport.
5H30 de vol, 3H de décalage horaire.
Une journée de réunions.
Le tout en américain...

Quand la journée se termine, la seule chose à faire est d'aller s'écrouler à l'hôtel, pour cuver le décalage et la fatigue.

Mais ceux qui me connaissent un tout petit peu savent que si il y a bien un truc que j'ai du mal à faire, c'est de m'arrêter, et de ne rien faire.
J'ai donc profité d'être sur la côte ouest pour aller admirer le Pacifique, et comme l'heure était propice, j'ai attendu avec un bon livre que Râ entame son voyage nocturne.

Et là, une sorte de... Je ne sais pas, c'est dur à décrire. Mais je crois que je n'avais pas vu un aussi beau coucher de soleil depuis l'an 2000 et la côte de l'Atlantique, à Casablanca, sur l'esplanade de la grande mosquée.

Attention, séquence nostalgie ;)

A cette époque, j'étais un habitué de la place de la grande mosquée de Casablanca. J'attendais l'appel de la prière du soir, assis dans un coin discret de la place, entouré de chats errants qui comme moi tentaient de se fondre dans le décor, mécréants invisibles, et je regardais arriver les fidèles, attirés par le chant mélodieux du muezzin, tandis que le soleil descendait lentement sur l'horizon.
Une fois la prière entamée dans la mosquée, seuls restaient sur la place les chats, et moi.

Ok, fin le la séquence nostalgie, place aux photos. Et sans commentaires. Pas besoin.







"So long, and thanks for all the fish."

Olivier.

P.S : juste après cette série de photos, j'ai réalisé que mon objectif était sale... ;)

Thursday, October 04, 2007

B(i)elles à couper le souffle

Salut à tous,

ok, encore un jeu de mots pas net pour le titre, mais là, j'ai de la fièvre due à une sorte de grippe, donc, je demande la clémence du jury...

Comme le blog s'appelle toujours MotardBrouillon, voici un sujet de motard. La visite du musée Classic Iron à Niagara Falls.

Il s'agit d'un musée de motos, axé sur les Harley-Davidson, avec en vedettes, des répliques des motos du film Easy-Rider, dont la fameuse Captain America (interdit de la photographier malheureusement)

Voici donc les photos prises dans ce musée.

Une Knucklehead. J'ai oublié de noter l'année, et je ne suis pas un spécialiste des H-D.

Curiosité : un scooter Harley-Davidson. Un topper de 1960. H-D tentait de suivre les modes de l'époque.

Autre curiosité : un cyclo H-D. 1965.

1966 : Harley-Davidson Sprint. En fait, il s'agit de motos italiennes de marque Aermacchi, marque rachetée par Harley pour tenter de suivre les modes de l'époque. Beaucoup de puristes H-D ne les considèrent pas comme des vraies Harley. Perso, je les trouve plutôt sympa ces motos. Ca permet de rouler H-D sans être barbu et tatoué ;)

Un magnifique custom sur base Harley.

Détail de la mécanique. C'est beau comme un orgue !

FXW Wideglide 1980. C'était la moto personnelle de Dan Akroyd, l'acteur.

Flathead 1944. Sobre, jolie.

Ma Harley préférée : XLCR (1978) Une gueule fabuleuse. La Harley pour celui qui veut garder la possibilité de rouler sportif.

WLC 1942. Version militaire (canadienne), célèbre pour être la moto des G.I's lors du débarquement.

UL Copper Jack, 1940. Encore une jolie moto bien sobre.

Une des deux répliques des motos de Easy Rider.

RL Sport de 1932.

KH Sport, 1954. Série spéciale 50ème anniversaire.

Encore une curiosité : Harley Davidson MC65 Shortster, un concurrent du Honda Dax 70.

Place à une anglaise célèbre : la Triumph Bonneville (1973), en référence au lac salé de Bonneville, aux USA (gigantesque lac asséché sur lequel se déroulent les tentqtives de records de vitesse de moto)

Une rareté : une Panhead Hydraglide attelée. 1956. Première fois que j'en vois une.

Là, on commence à taper dans le magnifique : Sunbeam LL 500, 1929.

On continue dans le magnifique avec une Matchless G3L de 1951.

On tutoie le sublime : Ariel Square Four, 1950.

Une vraie oeuvre d'art : Indian Scout, 1923, en parfait état !

Elle peut paraître plus ordinaire, mais moi, elle me fait rêver : BSA Empire Star 250cc, 1937.

Dans ce musée, j'étais comme un vrai gosse, passant d'une machine à l'autre avec un sourire impossible à effacer, revenant sur mes pas pour contempler encore les petits détails de ces machines qui ont fait l'histoire d'une de mes passions, tout en sifflotant sur les musiques rock du fond sonore.

Pas une seule moto japonaise, ce n'était pas trop le sujet du musée. Dommage pour moi, vu que beaucoup de mes motos favorites viennent du pays du Soleil Levant.

En tout cas, chapeau pour l'état des motos (mis à part la pression des pneus pour certaines ;) )

"So long, and thanks for all the fish."

Olivier.