Plus on monte, moins il fait chaud...
non, pas de cours de physique dans ce post, mais une constatation : plus on monte, plus la température chûte, et en hiver, on peut vite se retrouver à se (les) geler avant d'avoir pris conscience de ce qui se arrive...
Bref, ce jour là, j'étais parti pour une balade devant me faire passer par Grasse, puis les montagnes derrière pour redescendre par Caussols.
Mais entre ce qui est prévu et ce qui se passe...
Première pause au château de Mouans Sartoux. Ce chateau est très particulier, car il est formé en triangle (probablement parce que le châtelain était trop radin pour faire un carré...)
Une sculpture assez marrante devant le château.
Vue d'un autre côté de la bâtisse triangulaire.
Sculpture libre sur le thème imposé de l'alambic.
Là, un alambic, un vrai. Mais pourquoi tant d'alambics ici ? Et où se trouve cet ici ? Nulle part ailleurs qu'à Grasse, bien sûr, ville des parfums. Cette cité est célèbre pour son industrie de la parfumerie.
On continue de grimper : la vue depuis Spéracèdes.
Petite explication : arrivé là, je me gelais vraiment, avec les dents qui claquent et les mains qui tremblent sans vouloir s'arrêter. Alors, dans ce cas là, j'ai fait ce que tout motard normalement constitué aurait fait : je me suis réchauffé les mains en les mettant devant le moteur et les pots d'échappement, et j'ai décidé que "non, finalement, passer par les montagnes serait une très mauvaise idée", et j'ai donc pris le chemin de la descente vers la mer.
Au passage, petit arrêt pour voir Grasse depuis les hauteurs.
Comme quoi, même sur la Côte d'Azur, on peut avoir froid. En fait, en hiver, je trouve le froid modéré mais humide de la Côte d'Azur plus difficile à supporter que le grand froid sec du Canada. Mais c'est peut être dû au fait que je me suis payé une méga crève dès mon premier jour en France ;)
"So long, and thanks for all the fish."
Olivier.
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