La langue en vrac...
depuis que je suis à Montréal, j'entends beaucoup de monde se plaindre que la langue française se perd, que c'est dommage, etc.
Et, oui, je dois reconnaitre qu'au fil du temps qui passe, il y a de plus en plus d'anglophones, et que parfois, dans Montréal, on se retrouve en face de commerçants qui ne connaissent pas du tout la langue de Molière.
D'un autre côté, il y a des efforts pour améliorer la situation, comme par exemple, dans mon entreprise, des cours de français pour les non francophones, ou encore plus médiatique : les joueurs anglophones des Canadiens de Montréal apprennent le français.
Alors, le français, cause perdue à Montréal ?
Une photo pour résumer la situation :
Et le commentaire qui va avec : alors, oui, c'est pas fameux, mais il y a de l'espoir. Si si, regardez bien, en haut à droite du panneau, quelqu'un a mis l'orthographe correcte ;)
Plus sérieusement : le gouvernement du Québec tente de conserver la spécificité de la langue française la plus vivante possible, mais il est vrai que pour le gouvernement fédéral, ce n'est pas une priorité...
Aors, vive la langue française, qui permet tant de nuances dans les expressions, et vive le Québec francophone, ambassadeur de cette langue qui autorise tant de subtilités (surtout dans les traités de paix après une guerre ;) )
"Au revoir, et encore merci pour tout ces poissons."
Olivier.
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